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Un siècle a passé depuis qu’André Gide, pour les éditions « La Nouvelle Revue Française », refusait un titre inconnu et qui ne disait rien à personne Du côté de chez Swann. On peut sourire à l’idée que Proust dut se résoudre à éditer à son compte, chez Grasset justement, une œuvre, dont seulement quatre extraits avaient été publiés par Le Figaro. Le romancier le finança lui-même pour 2.816 francs de l’époque. Nous étions en 1913. Swann attaquait sa petite carrière et les maisons d’édition pouvaient commencer à s’exercer à jeter un œil plus vigilant à leurs boîtes à lettres.
Victor Hugo cet inconnu, Jean-Louis Bory, qui est-ce ?
C’est pour tenter de répondre à l’énigme de ce que deviennent les manuscrits une fois parvenus à bon port, qu’Anne Gaillard, terreur des ondes dans les années 1971 à 1978, allait mettre sur pied l’une de ses impostures diaboliques. Vaillance et crânerie faisant cruellement défaut aujourd’hui, …